Les auteurs de bandes dessinées ne se voient pas toujours en démiurges, créateurs d’univers extraordinaires. Même ceux qui n’ont pas pour vocation de se regarder le nombril peuvent être ponctuellement tentés par le carnet intime. Un heureux événement et le pinceau s’emballe !
C’est l’histoire d’un petit garçon que le sommeil entraîne vers une contrée imaginaire. Une princesse, un chenapan fumant le cigare et un “bon sauvage” seront ses principaux compagnons d’aventure. À la fin de chaque page Nemo se réveille. La trame est mince.
Le fonds de Contrebandes est riche de nombreux ouvrages “rares”, dans le sens où il est difficile de les trouver ailleurs sur l’agglomération toulonnaise. Ils sont effectivement rares, souvent, parce que le tirage n’excède pas quelques milliers d’exemplaires. Les éditeurs privilégient les nouveaux titres, hésitent ensuite à s’engager dans une réimpression rarement lucrative.
Retour aux fondamentaux ! Un vrai thème de bande dessinée comme on les aime depuis près de 70 ans (Clark Kent est né en 1938). Il ne sera néanmoins pas question des pensionnaires des éditions Marvel ou DC Comics car le web regorge déjà d’articles fort documentés sur la question.
Continuons dans les sujets qui mettent de bonne humeur. À la Toussaint nous parlerons de trépas, c’était ça ou faire un spécial Noël en décembre.
Le récit de guerre a bien évolué depuis un demi-siècle. De la propagande romantique au documentaire accrochant le réel en passant par la fiction dénonciatrice, la fleur au fusil a quelque peu fané.