La critique instantanée, printemps 2014

« Il vaudrait mieux, voyez-vous, supprimer, brûler tous les critiques, aller jusqu’à se débarrasser des amis qui n’ont pour faculté que le sens critique ; ceux-ci, comme ceux-là  , engendrent l’onanisme, l’impuissance, font le vide d’air, et dégagent une odeur de sacristie qui n’a pas même le charme du Jardin de mon Curé” (Francis Picabia)

La critique instantanée, automne 2013

« La culture industrielle d’aujourd’hui, minable caricature des avant-gardes littéraires et artistiques du début du XXe siècle, fonctionne sur l’apparence d’une remise en cause de l’ordre des choses, ordre dont elle est l’un des principaux piliers – au point que le mot même de critique, récupéré tant par la fausse gauche que par la vraie droite, doit malgré sa noble généalogie susciter la plus grande suspicion » (Éric Hazan & Kamo)

La critique instantanée, printemps 2013

Il n’est pas nécessaire qu’un auteur comprenne ce qu’il écrit, les critiques se chargeront de le lui expliquer, dit le premier en ricanant. Je n’ai jamais pondu un oeuf de ma vie et pourtant je m’estime plus qualifié qu’une poule pour juger de la qualité d’une omelette, rétorque le second. Ils en viennent aux mains.

Hyacinthe et Rose

Au printemps, les fleurs s’épanouissent et dévoilent leurs plus beaux atours. Comment rester indifférent face à  l’explosion de couleurs des pétales qui égaye le paysage, signe que la nature reprend vie après le long sommeil hivernal ?