Les dioramas de Moby Dick mis en boîte, quelques linogravures issues d’ouvrages divers plus traditionnellement encadrées : Joëlle Jolivet s’expose jusqu’à la fin du mois de septembre. Décrochage en présence de l’artiste, samedi premier octobre.
Rien à voir avec celles qui, peintes à la truelle, sèchent au soleil sur le quai du port. Les marines de Guerrive sont dessinées, noires et blanches, foisonnantes, inquiétantes, tempétueuses. Jusqu’à la fin du mois d’août sur les murs de Contrebandes.
Vingt-trois auteurs se font des films et rêvent treize affiches avec scénarios, extraits de dialogues ou fausses critiques de Télérama. Sur les murs de Contrebandes pendant tout le mois de juin.
Un feu d’artifice pour célébrer le joli mois de mai : Contrebandes expose des planches originales de David B., Adrien Demont, Grégory Elbaz, Vincent Perriot, Charles Razack, Samuel Stento et Guillaume Trouillard, tous animateurs de la splendide revue Clafoutis aux éditions de la Cerise (le numéro 4 vient de sortir). À partir de jeudi 5 mai jusqu’à la fin du mois. Vernissage / décrochage en compagnie de Guillaume Trouillard, samedi 28.
Il n’est pas si courant de rencontrer des dessinateurs de bande dessinée vivant à Toulon. Didier a dessiné le premier tome d’une trilogie urbaine scénarisée par Sylvain Ricard et publiée aux éditions 6 pieds sous terre : On a mangé Zidane. Il expose ses travaux à partir du 14 avril sur les murs de Contrebandes. Dédicace et vernissage samedi 16.
Elles ont réalisé à quatre mains Le Grand amour, publié aux éditions Hélium. Polina a écrit l’histoire, dessiné des images en noir et blanc que Gala a ensuite cousues en créant les couleurs. Le résultat est absolument somptueux. L’occasion de vérifier que l’impression sur papier ne saurait restituer l’éclat de la réalisation sur tissu. En exposition jusqu’à la fin du mois de Mars, vernissage en présence des artistes le 12.