Fred peint des corps en mouvement. Qui tirent, qui poussent, qui tombent, qui s’enfuient. Qui posent le coude sur le comptoir d’un bistro, enfin, on imagine que c’est le comptoir d’un bistro.
Goudron, peinture, collages.
Trempe et attend, un peu comme un potier devant son four. Parfois tout craquelle, parfois la magie opère.
Jusqu’à la fin du mois de décembre sur les murs de Contrebandes.