Quatrième édition de Bulles en Seyne, festival de bande dessinées se passant comme son nom l’indique de l’autre côté de la rade, sous ce pont de la Navale qui régale chaque année l’auteur chargé de faire l’affiche puisque la représentation de l’engin figure explicitement au cahier des charges. Samedi 9 et dimanche 10 juin. Une belle palette d’auteurs sur le stand de Contrebandes.
Clément Baloup, nouveau venu en ces lieux mais certainement pas dans le monde de l’édition, sort au printemps deux livres : une bande dessinée documentaire (Little Saïgon, la Boîte à bulles) et une fiction (La Concubine rouge avec Jiro au dessin, Bayou).
Jean-Marc Pontier vient de publier un beau roman graphique aux Enfants rouges, Peste blanche, et présente sa monographie consacrée à Nicolas de Crécy qui sortira chez PLG à l’automne, Périodes graphiques.
Rica, habitué des lieux, auteur du récent Minus (Drugstore) qui vous réconciliera avec l’espèce humaine.
Théa Rojzman, que nous sommes ravis d’accueillir pour la première fois, a récemment publié son quatrième livre : ni un roman, ni une bande dessinée, il exploite une veine singulière pour raconter des êtres en texte et en images (Chacun porte son ciel, le Moule à gaufres).
Terreur graphique, bienvenue à lui, ne s’arrête plus depuis la sortie de Rorschach en 2011 (6 Pieds sous terre) : La rupture tranquille (Même pas mal 2011), La musique actuelle pour les sourds et malentendants avec Dampremy Jack (Vraoum 2012), Mastadar-invasion (Vide cocagne 2012), sans compter de multiples interventions ici et là.
…On ne présente plus Johan Troïanowski !
