Johan Troïanowski au feutre amplifié et à l’aquarelle, Benoit Bottex à l’ordinateur et la flûte. Quelques photos pour un compte-rendu atrophié. Les chanceux qui assistaient à la scène, samedi 8 septembre, se souviendront de la part musicale et du mouvement.

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Quelques douces notes de flûte, le rythme du feutre qui trace les touches blanches et noires d’un chapeau en forme de clavier. Puis la flûte change de main et la musique se fait plus discordante, plus agressive. Le musicien se bouche les oreilles, négocie l’échange de son instrument contre un triangle, la mélodie redevient plus légère. Reprenons depuis le début. Qui fait quoi ? Johan dessine une histoire de musique, Benoît joue de la bande dessinée.

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